Le Lakorn continu, des journalistes accrédités et des créateurs de contenu étrangers ont été interdits d’accès à une activité officielle de « Miss Universe » à Phuket, seuls les médias thaïs étaient autorisés…
Alors que le drame de Miss Universe 2025 semblait s’apaiser, un nouveau rebondissement a éclaté : des médias internationaux et influenceurs ont été bannis d’une opération officielle à Phuket le 9 novembre.
Selon des comptes philippins et autres nationalités accrédités, seuls les journalistes thaïs ont été admis au site. Même Telemundo, partenaire de diffusion US en espagnol, figure parmi les exclus.
La page Critical Beauty avait déjà signalé des restrictions pour créateurs jusqu’au 17 novembre.
Nawat Itsaragrisil, président de Miss Grand International gérant l’organisation thaïe, a imposé son propre coordinateur médias, contredisant la Miss Universe Organization (MUO). Cela s’ajoute aux tensions avec Raúl Rocha, le président le l’organisation internationale qui supervise le concours.
Rappel des incidents : le 2 novembre, MUO dénonce un vote en ligne non autorisé et un dîner spécial promu par Nawat. Le 3, il fait saisir des matériels d’un partenaire philippin de jeux en ligne, illégaux en Thaïlande. Le 4, clash viral avec Fátima Bosch (Mexique), insultée d’ « idiote », provoquant larmes et grève d’autres candidates, dont Miss Universe 2024 Victoria Kjær Theilvig. Le 5, Rocha condamne Nawat et envisage des poursuites ; ce dernier fond en larmes en direct, jurant n’avoir voulu nuire à personne.
La finale se profile le 21 novembre au Impact Challenger Hall, Nonthaburi, avec plus de 120 candidates, dont la Philippine Ahtisa Manalo. Ces exclusions risquent d’amplifier la crise, ternissant l’image de l’événement à un mois de la remise de la couronne.
source< (philippines)/blockquote>
Soyez le premier à commenter